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«Je maintiens que je ne suis pas impliquée dans sa mort»

Le Tribunal cantonal fribourgeois a rouvert mercredi le dossier d’une femme contestant avoir tué sa belle-fille à Vuadens en novembre 2018. Aujourd'hui âgée de 28 ans, elle a écopé en première instance de la prison à vie pour assassinat.

Le procès en appel d'une femme de 28 ans, condamnée en première instance pour l'assassinat de sa belle-fille, s'est ouvert mercredi dans la salle d'audience principale du Tribunal cantonal fribourgeois. © Aldo Ellena
Le procès en appel d'une femme de 28 ans, condamnée en première instance pour l'assassinat de sa belle-fille, s'est ouvert mercredi dans la salle d'audience principale du Tribunal cantonal fribourgeois. © Aldo Ellena

MRZ

Publié le 07.06.2023

C’est dans une salle comble et une atmosphère à couper au couteau que s’est déroulé, mercredi au Tribunal cantonal fribourgeois, le procès en appel d’une femme de 28 ans. Condamnée en avril 2022 à la prison à vie pour l’assassinat brutal de la fillette âgée de deux ans et demi de son ex-compagnon, elle continue de clamer son innocence après 1660 jours d’incarcération. Cette affaire est d’autant plus dramatique qu’il s’agit d’un huis-clos mortel: dans la nuit du 10 au 11 novembre 2018, lorsque la malheureuse enfant avait succombé à une strangulation après avoir été frappée à une trentaine de reprises au moins, seule la jeune femme et son ex (rentré vers 3 h du matin après s’être produit comme DJ) se trouvaient au domicile que le couple partageait à Vuadens.

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