La Liberté

pictogramme abonné La Liberté Contenu réservé aux abonnés

Aux origines des péchés capitaux

Orgueil, avarice, luxure, paresse ou gourmandise engendrent la culpabilité. Et s’ils étaient mal compris?

La gourmandise... un péché capital auquel on ne résiste pas! © Adobe Stock
La gourmandise... un péché capital auquel on ne résiste pas! © Adobe Stock

Laurence Villoz / Protestinfo

Publié le 11.07.2020

Temps de lecture estimé : 6 minutes

Vices et vertus (1) » D’où viennent les sept péchés capitaux, quel est leur rôle dans la tradition religieuse et qu’en reste-t-il aujourd’hui? Une série d’été à l’odeur de soufre.

Encore une tranche de ce gâteau à la crème avant d’aller faire une sieste au soleil… La gourmandise, la paresse, l’orgueil, l’avarice, la luxure, l’envie ou encore la colère forment les sept péchés dits capitaux. Est-ce que cela signifie qu’ils sont les plus graves? Absolument pas. «Le terme «capital» vient du latin caput, la tête. C’est ainsi qu’on appelle ces péchés, car ils sont générateurs de presque tous les autres», explique l’abbé François-Xavier Amherdt, professeur de théologie pratique à l’Université de F

Articles les plus lus
Dans la même rubrique
La Liberté - Bd de Pérolles 42 / 1700 Fribourg
Tél: +41 26 426 44 11