Khalil Thebti: «Entre le PLR et le PDC, j’ai rapidement fait mon choix»
Elections fédérales 2015 • Le 18 octobre prochain, pas moins de 65 candidats estampillés «jeunes» - répartis sur dix listes se lanceront à l’assaut du Conseil national. «La Liberté» a demandé à chaque formation de déléguer à l’un des siens la compétence d’expliquer son engagement. Voici les réponses de Khalil Thebti (PDC).
Propos recueillis par Patrick Pugin
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Khalil Thebti (Jeunes démocrates-chrétiens)
> 26 ans, étudiant, Marly
- A quand remonte votre engagement politique? Et pourquoi?
A la fin de l’année 2010. Mes parents suivent l’actualité et ont longtemps été intéressés par la politique. Ensuite, au collège, nous avions un enseignant qui, au moment des élections ou des votations, invitait des politiciens à venir discuter en classe. Tout cela m’a amené à m’intéresser davantage à la vie publique. Car la politique, finalement, conditionne la vie quotidienne.
- Pourquoi ce parti (le PDC) plutôt qu’un autre?
J’ai consulté les programmes des différents partis et j’ai tout de suite remarqué n’avoir pas beaucoup d’affinités avec le PS et l’UDC. Après, entre le PLR et le PDC, j’ai rapidement fait mon choix. Ce que j’ai aimé au PDC, c’est qu’il repose davantage sur des principes que sur une idéologie. Les principes laissent une marge de manœuvre beaucoup plus large que l’idéologie, représentation simpliste d’une réalité complexe.
- Que doivent apporter les jeunes à la politique?
Les jeunes ont certainement une vision un peu plus «révolutionnaire», idéaliste, de la vie et de l’avenir que leurs aînés. Ils ont l’énergie et la volonté d’apporter du changement.
- Quel est votre modèle politique?
Je n’en ai pas vraiment… Non, personne ne me vient spontanément à l’esprit.