Etre une femme libérée, tu sais…
nina pellegrino
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Le mot de la fin
Il s’agit d’un vieux tube dont vous vous souvenez peut-être. Il disait: «Ne la laisse pas tomber, elle est si fragile…» C’est bon, vous l’avez en tête pour la journée? Malheur à vous, qu’on ne vous surprenne pas à fredonner qu’«être une femme libérée, tu sais c’est pas si facile»! Ce bon vieux Cookie Dingler a échappé à la censure au bénéfice de son époque, mais avec des paroles comme ça, il prendrait aujourd’hui six mois ferme pour misogynie. Avec en prime un lynchage en règle sur les réseaux sociaux!
Eh oui, en 2018, le KGB anti-machiste veille. Et il n’en finit pas de traquer ses victimes… euh… ses agresseurs, pardon. Vous, mâle alpha, Blanc et hétérosexuel, essayez un peu de tenir la porte à une jeune femme! Il