Le beau temps ne se paie même plus
Pascal bertschy
Temps de lecture estimé : 3 minutes
Le mot de la fin
D’où sortent des étés pareils? Nous sommes le 11 septembre et nous nous tapons des journées à vingt-cinq degrés ou plus, avec soleil à tous les étages.
La fête dure depuis des mois. Les uns se pincent pour y croire, les autres cherchent l’erreur: il fait beau, très beau, et ça n’arrête plus. Un copain m’a même dit avoir vu des Fribourgeois faire la bénichon en maillot de bain, mais il ne faut pas croire tout ce que disent les copains. Il leur arrive d’exagérer.
Cette année, il est vrai, l’été lui-même frise l’exagération. Et les Suisses n’oublieront pas ces huit week-ends consécutifs où le thermomètre a franchi systématiquement la barre des trente degrés. Double grand chelem!
L’été s’amuse d&e