Un destin, ça? Tu parles, Charles!
Pascal bertschy
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Le mot de la fin
Le prince de Galles aura septante ans le 14 novembre. Et doit être ébahi: la reine donnera une grande fête privée à Buckingham pour son anniversaire. Et détail remarquable, relevé par la presse britannique, Elisabeth II paiera ces réjouissances de sa poche et les orchestrera non pas en souveraine mais en mère.
Un tel élan surprend, venant d’une reine connue pour être affectueuse surtout avec ses chevaux et ses chiens. Pourquoi ce début d’attendrissement envers son fils aîné et héritier? Ma foi, avec le temps, la vie baisse le ton. Et concernant Charles, la reine est comme tout le monde: après toutes ces années, elle s’est habituée à lui. A peut-être même fini par se faire à l’idée qu’il lui succédera un jour et ne fera pas forcément un piètre roi.