A défaut de société, il reste ses jeux
Marie Hayoz
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Le mot de la fin
Une partie non négligeable de l’année 2020 se sera déroulée entre notre cuisine et notre salon. Certains ont fait du pain, d’autres ont téléchargé des applications de fitness, la plupart ont déménagé chez Netflix. De mon côté, mon appartement est si minusculement genevois que je dois déplacer trois meubles pour faire des abdos et je n’ai pas l’âme d’une boulangère.
Pour préserver sa santé mentale de l’automne et du Covid-19, il existe une option moins dommageable qu’une demi-bouteille de Gamay bue en regardant les infos: les jeux de société.
C’est l’activité parfaite pour se retrouver autour d’une table sans être obligé de manger et pour s’amuser en couple, en collocation, en famille recomposée, en foyer ou seul avec son bichon maltais. Car si vous avez déjà eu votre quota