Bon, une fois chez nous, tu verras...
angélique eggenschwiler
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Le mot de la fin
Voilà le contexte: nous partons quelques jours en vacances, mon compagnon, moi et notre poids en culpabilité à l’idée d’abandonner le chat dans tout ce vide à peine comblé par une double ration de croquettes.
Alors bon, on anticipe, on déniche une copine assez souple (et altruiste) pour mettre sa vie entre parenthèses et emménager dans notre salon. Je ne parie pas sur l’accueil du chat, mais j’ai bon espoir qu’après trois jours de sédition il daigne lui accorder un ronron.
Dans l’immédiat, il faut préparer le terrain pour la nouvelle occupante qui, à l’instar de la moitié du canton, n’a jamais mis les pieds à Cornaux (NE). On dégaine alors le bloc de post-it pour éclairer les zones d’ombres de l’appartement. Et il en compte des zones d’ombres, notre modes