C’est la bonne année pour se marier
Pascal Bertschy
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Le mot de la fin
Le divorce a la cote. Aidé depuis un an par un drôle de virus, paraît-il, il n’aurait jamais été aussi tendance. Bon, peut-être, mais le mariage dans tout ça? Est-il encore permis d’en parler?
Le mariage a, lui aussi, la cote. Imaginez: en dépit d’une météo peu clémente, des couples se sont mariés depuis le début d’année. Et d’autres le feront d’ici à l’été, pas question de renoncer au nom d’on ne sait quelle pandémie. Si ce n’est pas un signe d’engouement, ça!
Le monde devrait cesser d’enterrer le mariage ou de le tourner en dérision, comme il le fait depuis cinquante ans. Se passer la bague au doigt pour marcher sur la même route, d’un même pas, ce plan-là plaira toujours.
D’ailleurs, comment la s&eacu