Comme un bouc, un bélier, une bête…
Jean Ammann
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Le mot de la fin » Finalement, l’homme est assez simple à comprendre. Amis et amies de l’écriture inclusive, sachez que je parle de l’homme avec un pénis, car c’est toujours à ça qu’on revient. Je ne parle pas de l’homme au féminin, c’est un sujet beaucoup trop complexe que je ne saurais épuiser dans l’espace confiné de cette chronique (il paraît même que l’anatomie de la femme est tout aussi subtile que l’anatomie de l’homme, seulement ça ne se voit pas, tout est à l’intérieur!). Je parle de l’homme, du vrai, du seul, avec deux «balloches» qui tintinnabulent entre les gambettes.
J’ai regardé l’autre soir sur France 2 Chimpanzés, le combat des chefs. C’est l’histoire, assez romancée, du vieux David, un mâle alpha qui règne depuis troi