L’extinction de nos amis dinosaures
Angélique Eggenschwiler
Temps de lecture estimé : 3 minutes
Le mot de la fin
Enfant, j’avais deux passions dans la vie: les macaronis, les aventures de Pocahontas en VHS et les dinosaures (ça fait trois oui mais j’ai dû rater l’index en comptant sur mes doigts).
Rien de très original pour un spécimen de la génération Y, comme Yurassic Parc. Il y avait quelque chose de profondément réconfortant chez ces grosses bestioles qui, si tant est qu’elles aient un auriculaire, pourraient vous éviscérer avec.
On dirait de gros chats. De gros chats de huit tonnes avec une mâchoire de la taille de votre baignoire mais de gros chats quand même.
Si vous saviez les heures que j’ai pu passer à explorer les contours de notre préhistoire, mentalement blottie contre le flanc d’un triceratops imaginaire. Un refuge. A la moindre contrariété, il suffisait d’imaginer le pas lourd d&rs