Le mot de la fin

J’y suis allée. Visiter la boulangerie de M. Didier Ecoffey à Romont. Il y a quelques semaines, vous vous en souvenez peut-être, j’orchestrais ici le procès du croissant aux amandes en égratignant au passage nos artisans nationaux. Dans les jours suivants, M. Ecoffey, président de l’Association romande des artisans boulangers, pâtissiers et confiseurs, m’invitait à réviser mes a priori en visitant son laboratoire. Et devinez quoi? J’y suis allée.

Car la boulangerie et moi, c’est une histoire d’amour non réciproque. Une histoire de passion qui ne lève pas ou explose dans mon frigo, ce sont dix ans de petits pains maison qui manquent de sel ou de pousse, entendez de savoir-faire. Rendez-vous pris à quatre heures du matin donc.

Quatre heures du matin? Mon enthousiasme en prend un coup à l’idée de d