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Le césar Polanski à Lambert Wilson
Pascal Bertschy
Publié le 04.03.2020
Temps de lecture estimé : 3 minutes
Le mot de la fin » La soirée des césars est toujours plate et épouvantablement longue. Dans l’interminable, cette année, elle bat pourtant des records. La cérémonie a commencé vendredi soir et, hier, elle était loin d’être finie.
Le grand public a de la chance, il n’est pas convié à la «fête». Une fête, où ça? Le cinéma français donne dans le jeu de massacre, ces jours, et l’échange de noms d’oiseaux.
Ses représentants s’étripent à propos du césar de la meilleure réalisation décerné à Roman Polanski, ses meutes militantes dénoncent le sexisme, le racisme, et vocifèrent au sujet de la représentativité des minorités à l’écran. Ces histoires sont d’un compliqué. Un