Le confinement selon Diam’s
Angélique Eggenschwiler
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Le mot de la fin » D’accord, les premiers jours j’ai trouvé ça plutôt marrant. D’abord, ils ont stoppé net cette manie de ramener des inconnus chez moi. Fini les coups de sonnette intempestifs, les retours à pas d’heure et les apéros dans mon salon. Sérieusement, moi le confinement j’étais pour. Jusqu’à ce qu’ils commencent à faire des provisions.
Au début rien d’alarmant: une dizaine de rouleaux de papier toilette, deux ou trois kilos de spaghettis… Petit à petit, l’appartement a pris des allures d’hypermarché. Et vas-y que je t’empile des boîtes de raviolis dans la baignoire, quatre kilos de saucisson par-ci, une demi- tonne de mayonnaise par-là. Sans gêne. Rendez-vous compte, il y a des meules de fromage dans le tiroir à chaussettes!
Et puis ça a dég&eacu