On ne se laissera pas priver de câlins
Michaël Perruchoud
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Le mot de la fin » Il y a les lèvres posées sur le front chaud de l’enfant pour tenter de le réconforter ou de conjurer la fièvre, il y a ce copain plus vu depuis perpète au moins et qui s’approche de toi, grand sourire et bras ouverts, à qui tu donnes une solide et franche accolade.
Il y a également cet autre pour qui la vie n’a pas été tendre et à qui tu serres l’épaule, en pressant un peu la paume, pour dire que tu es là si besoin, qu’il peut compter sur toi.
Il y a ces promenades le long des chemins, la main dans la main aimée, et puis cette troisième bise adolescente qui se termine juste sur le coin des lèvres de la belle timidement convoitée, juste pour savoir s’il est possible d’en espérer plus.
Il y a ces corps saisis à la taille et balancés dans la piscine, comb