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Papes pour le meilleur et pour le rire

Anthony Hopkins dans le rôle de Benoît XVI et Jonathan Pryce dans celui du cardinal Bergoglio: ces deux papes ne sont pas tristes. © DR
Anthony Hopkins dans le rôle de Benoît XVI et Jonathan Pryce dans celui du cardinal Bergoglio: ces deux papes ne sont pas tristes. © DR

Pascal bertschy

Publié le 30.12.2019

Temps de lecture estimé : 3 minutes

Le mot de la fin

Sur Netflix, Les deux papes a deux défauts: son titre mensonger, car le film s’occupe bien plus d’un pape que de l’autre, et la manière abusive avec laquelle il se pose en reproduction historique. Pour le reste, le réalisateur brésilien Fernando Meirelles et son équipe frisent le sans-faute.

Les deux papes a beau se flatter d’être tiré de faits réels, il s’agit d’une pure fiction. Elle imagine la rencontre de Benoît XVI et du cardinal Bergoglio en 2012.

A la tête d’une Eglise catholique en proie aux tempêtes, le souverain pontife allemand s’est résolu à renoncer. En attendant de quitter sa fonction, il convoque à Rome le cardinal de Buenos Aires. Joseph Ratzinger souhaite dialoguer avec cet Argentin qui entend démissionner, lui aussi, et compte parmi ses plus ardents détracteurs.

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