Pitié, ne nous racontez pas la fin!
Angélique Eggenschwiler
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Le mot de la fin
Il arrive que mon collègue et moi discutions cinéma. Et il faut admettre qu’en la matière, il en connaît un rayon, une allée même, alors que je n’ai moi-même pas dépassé le stade de l’étagère. A ma décharge, j’ai, selon ses propres estimations, aux alentours de six ans et demi tandis qu’il aurait côtoyé pour sa part Napoléon et descendu des godets avec le conseiller en image de Néron à qui il aurait d’ailleurs glissé un ou deux conseils par-ci, par-là. En bref, il a eu le temps d’élimer quelques fauteuils de cinéma.
Ainsi donc, il nous arrive de nous engager sur le terrain périlleux du septième art. Périlleux car lorsque vous conversez avec un enthousiaste de la pellicule, il arrive toujours un moment où, dans un élan d’allé