Tu sais à qui tu parles, duchnoque?
Pascal Bertschy
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Le mot de la fin
Il y a des jours où les réseaux sociaux mettent de bonne humeur. Parfois, ils inspirent même de la sympathie. Oui oui, c’est moi qui le dis.
Les réseaux? Comme je n’y suis pas, je m’en fous. Et si je devais en penser quelque chose, ce serait du mal. Ces trucs-là accélèrent le mouvement de «décivilisation» en cours, à mes yeux, et vous auriez de la peine à me convaincre du contraire.
Attendez, je me pose tout de même une question. Et si ces machins finissaient par imposer un peu de décence, de mesure à leurs utilisateurs les plus agités?
Dans une bouffée d’optimisme, je ne l’exclus pas depuis cette histoire arrivée au Brésil et vue sur la chaîne Globo.
On est à Rio de Janeiro, au début du mois. Les bars et les discothèques rouvrent, on s&rsqu