L’apprentissage, le Covid-19 et la femme
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On en apprend tous les jours, parfois sur les femmes quand on est un mec. L’autre jour, ma pote d’une lointaine contrée m’explique qu’elle a chopé le Covid-19 – l’apprentissage commence. Elle ne le vit pas si mal. Elle souffre juste de la perte du goût et de l’odorat. Et puis – l’apprentissage s’intensifie –, elle entre dans la période où elle a ses règles. C’est le «combo d’enfer», m’explique-t-elle. Non seulement la perte du goût et de l’odorat l’empêche de profiter des douceurs chocolatées, mais en plus, elle ne peut même pas se délecter du croquant de ladite denrée. «Rien à faire contre les hormones, rien à faire pour se consoler.» Misère, pensé-je sans comprendre grand-chose, d’autant plus que je n’ai pas eu le virus. Mais je compatis. Avec humilité et respect. «Finalement, le pire dans le Covid-19, ce sont les crampes sans le réconfort du sucre», me dit-elle. Me voilà averti. Bien sûr, je ne me rendrai jamais compte par moi-même, du moins pour la partie sur les hormones. Mais