Les plages de vie, ça marche moyen
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Malgré mes tentatives, force est de constater l’inutilité crasse de dénoncer des travers dans cette mini-tribune quotidienne qu’est la plage de vie. Ce n’est pas faute d’avoir essayé de contribuer à la réduction de l’utilisation abusive de l’expression «du coup». Essayé deux fois même, à deux ans d’intervalle, avec le même titre et le même scénario, mais quelques changements dans les adjectifs vedettes. Et sans le faire exprès, ni que ce soit remarqué par qui que ce soit, de l’impitoyable chef au lecteur attentif. Seule exception: un de mes collègues qui visiblement a une mémoire encyclopédique des archives des plages de vie. Aucun impact donc, de cette double salve contre cette locution pénible parce que surexploitée. Il me semble même l’entendre encore plus qu’avant. Du coup, faut-il abandonner? Capituler face à l’omniprésence et s’avouer vaincu, du coup, face à la phagocytose des autres connecteurs? Allez, dernière salve, je tente encore le (du) coup: ça suffit avec cette locutio