Vous connaissez certainement la loi de Murphy. Règle selon laquelle si deux possibilités se présentent à vous, c’est forcément la moins agréable qui se produira. Je commence gentiment à penser qu’elle régit mon existence. Il y a la fameuse colonne que je choisis qui va systématiquement plus lentement que celle d’à côté. Si je prends le train, il y aura à chaque fois un pépin pour me faire rater la correspondance. J’en passe et des meilleures. Pour être honnête, avant mon départ en vacances au soleil, je me réjouissais d’embêter mes collègues en leur envoyant des photos de plage, de mer et de sable fin. Ce d’autant plus qu’il avait fait moche la semaine d’avant. Sûrement que mon futur sarcasme a titillé la force supérieure régissant la fameuse loi de Murphy, car dès que mon avion avait décollé, le soleil est revenu sur la Romandie, l’été a refait une dernière apparition tandis que sur mon île le vent et la pluie se sont invités à la fête dès le troisième jour. La prochaine fois, je l