J’ai un péché mignon. Je fais partie de ces téléspectateurs qui regardent de pauvres hères crever volontairement de faim sur une île dans l’espoir de gagner 100 000 euros. Hélas, le jour de diffusion de la dernière saison en date tombait le mardi, ce qui était hautement incompatible avec des horaires de journaliste… qui plus est quand la période coïncidait à celle des élections puis d’une avalanche de séances de législatifs. Lasse de me faire spoiler avant de rattraper les épisodes, j’ai employé les grands moyens. Exit les réseaux sociaux. Et ça a marché, du moins jusqu’à la finale. Le jour où j’allais rattraper cet événement si attendu, j’ouvre La Liberté et là, que vois-je? Ô rage! Ô désespoir! Une photo de l’un des finalistes en De