Promenons-nous dans les bois…
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C’est l’histoire de deux promeneurs du dimanche (merci de prendre l’expression au sens propre, ce sera bien aimable à vous). Elle debout depuis l’aube, car le monde appartient à qui se lève tôt. Lui émerge du brouillard plus tard et n’est pas dépaysé en regardant par la fenêtre. Météo dominicale incertaine. Mais celle dont le totem aurait été «Petit cheval fougueux», si elle avait fait les scouts, s’impatiente: «Il fera bientôt trop chaud. Et regarde l’indice UV prévu cet après-midi…» – «Bon, allons-y, avec de la chance on passera entre les gouttes», lâche-t-il sans trop y croire. La porte du logement à peine verrouillée, ils n’ont pas fait trois pas dans l’escalier que retentit un vacarme du tonnerre (c’est le cas de l’écrire). «Heu, c’était quoi, ça?» – «Ben l’orage qui arrive!» Demi-tour sur la pointe des pieds, ni vu ni connu. Rebelote au second essai en fin de matinée qui verra la foudre tomber au moment d’enfiler les souliers de marche… Tout compte fait, va pour l’expression «