Quand Lise-Marie interviewe Lise-Marie
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Je commençais à perdre espoir, mais l’année passée, cela s’est enfin produit! Après sept ans de travail à La Liberté, j’ai interviewé une Lise-Marie. Laquelle? Lise-Marie Graden, qui n’était pas encore préfète de la Sarine. Un grand moment d’émotion, où nous avons pu échanger sur notre prénom, si rare de nos jours. Et aujourd’hui, tout est devenu plus simple. Pour éviter d’éventuels: «Comment vous vous appelez déjà? Rose-Marie? Marie-Lise? C’est quelque chose avec Marie, non?», je dis simplement à mes interlocuteurs: «C’est Lise-Marie, comme la préfète.» Ce qui fait office de moyen mnémotechnique. Sauf que je n’avais pas pensé à toutes les conséquences: l’autre jour, mon homonyme a failli recevoir un mail que je voulais m’envoyer. Je ne vous explique pas les sueurs froides! La fâcheuse habitude de taper «lm» dans la fenêtre du destinataire. Désormais, je vérifie si c’est «Piller» ou «Graden» qui vient à la suite. Et j’en profite pour saluer toutes les Lise-Marie du canton! LMP