«Le Centre Bell m'a immunisé»
David Desharnais
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«Ça y est, j’ai vu toutes les arénas de la ligue. Il ne me manquait que Lausanne. Je l’ai trouvée très, très bien. Au niveau des vestiaires, chacun y a son casier, ce n’est pas seulement un banc comme c’est souvent le cas ailleurs en Suisse. De manière générale, les chambres sont petites, un peu «à la vieille», mais c’est de bonne guerre. A leur place, je ferais pareil. Je n’aime pas quand l’autre équipe se sent trop confortable.
A l’extrême inverse de Lausanne, il y a Ambri. Je n’y étais pas allé lors de mon premier passage à Fribourg. Le choc aurait été plus gros d’y jouer durant le lock-out, car il était prévu que je retourne en Ligue nationale (NHL). A cette époque, je ne connaissais pas grand-chose des coutumes du hockey européen. Là, pour le coup,