Métro, boulot, JO: Le grand écart thermique
Au cours des Jeux de Paris, nos envoyés spéciaux rédigent à tour de rôle une carte postale. Aujourd’hui, celle de François Rossier.
François Rossier
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Comme en Suisse, il faut chaud à Paris, très chaud même certains jours. Cela ne pose pas forcément de soucis quand les épreuves se déroulent tôt le matin, comme le triathlon, ou alors dans un stade fermé, comme le tennis de table ou la natation.
Par contre, cela peut vite devenir problématique lorsque l’on se retrouve en plein soleil. Ebloui par la lumière, il est par exemple impossible de voir l’écran permettant de suivre la course de VTT. Et que dire de la chaleur! Au beachvolley, un après-midi, la tribune de presse était quasi déserte. Il faut dire qu’avec 35 degrés annoncés, on flirtait avec les 45 sous le soleil tapant. Idem au kayak, à Vaires-sur-Marne, où les tribunes s’apparentaient à des rôtisseurs pour poulets, tellement on y grillait. Intenable!
Mais c’est finalement moins pire que dans certaines salles de presse ou à la Bercy Arena, où des gens se promènent avec… un pull ET une veste! Oui, oui!
La raison? Une climatisation excessive. Lors des matches de