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«Je suis jaloux du public de Fribourg»

Cinéaste de renommée mondiale et figure incontournable du cinéma de genre, le Coréen Bong Joon-ho partage au FIFF les films de son enfance

Bong Joon-ho est un inconditionnel du Steven Spielberg des années 1970, celui des Dents de la mer et de Duel. © DR
Bong Joon-ho est un inconditionnel du Steven Spielberg des années 1970, celui des Dents de la mer et de Duel. © DR

Olivier Wyser

Publié le 15.03.2019

Temps de lecture estimé : 5 minutes

Carte blanche » Féru de cinéma de genre, cinéphile compulsif et observateur fin de l’âme humaine, Bong Joon-ho se voit offrir une carte blanche par le Festival international de films de Fribourg (FIFF). Le réalisateur coréen, à qui l’on doit des films de la trempe de Memories of Murder, The Host ou Snowpiercer, ne laisse jamais le public indifférent. Retenu dans son pays pour les besoins de son prochain long-métrage, Bong Joon-ho ne viendra pas à Fribourg. Depuis Séoul, il évoque avec passion – entre mille excuses que l’on devine sincères au ton de sa voix – les films qui ont bercé son enfance.

Vous appréciez paraît-il beaucoup la Suisse, mais elle vous inquiéterait aussi. Pourquoi?

Bong Joon-ho: Je suis déjà venu dans votre pays et je le trouve très beau. Tr&egrav

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