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Aïcha, Aïcha, Aïcha… Ecoute-moi… Tabernacle!

Sophie Nélisse joue une ado trop mature pour son âge. © Filmcoopi
Sophie Nélisse joue une ado trop mature pour son âge. © Filmcoopi
Publié le 14.03.2018

Temps de lecture estimé : 1 minute

Et au pire on se mariera »   Cinéaste d’origine suisse émigrée au Québec, Léa Pool n’a pas son pareil pour mettre en scène des personnages féminins forts et fragiles dans des fictions intimistes. Après La dernière fugue, où elle abordait l’assistance au suicide et La passion d’Augustine, sur la lutte de la directrice d’un couvent au Canada, la réalisatrice revient avec Et au pire, on se mariera, l’adaptation du roman homonyme de l’écrivaine franco-québécoise Sophie Bienvenu. A 14 ans, Aïcha traverse une adolescence tourmentée. Se sentant incomprise, elle mène la vie dure à sa mère et ne lui pardonne pas sa rupture avec son beau-père. Lorsqu’elle croise la route de Baz, un musicien deux fois plus âgé qu’elle, elle tombe éperdument amoureuse.

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