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Drame humain et politique

En 2000, 118 sous-mariniers russes perdaient la vie, prisonniers du Kursk

Matthias Schoenaerts (à d.) vérifie l’état des missiles, quelques minutes avant les explosions qui vont causer la perte du K-141 Kursk. © Praesens
Matthias Schoenaerts (à d.) vérifie l’état des missiles, quelques minutes avant les explosions qui vont causer la perte du K-141 Kursk. © Praesens
Drame humain et politique
Drame humain et politique

Olivier Wyser

Publié le 07.11.2018

Temps de lecture estimé : 2 minutes

Kursk » C’était le 12 août 2000: le sous-marin nucléaire K-141 Kursk, fleuron de la flotte russe, fait naufrage dans la mer de Barents. A son bord, 118 sous-mariniers perdront la vie, prisonniers d’une carcasse de métal grande comme deux Boeing 747, échouée à une profondeur de 108 mètres. Si les rumeurs quant aux causes de la tragédie ont fait couler beaucoup d’encre à l’époque – certains évoquaient la piste d’un attentat-suicide ou d’une collision avec un autre sous-marin, américain – c’est la thèse de l’explosion d’une torpille, la version officielle et aussi la plus vraisemblable même si des zones d’ombre subsistent, qui est retenue dans ce film, fruit d’une coproduction européenne à gros budget.

Première surprise, on retrouve à la réalisation le Dano

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