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Et les femmes trinquèrent

Si elle ne révolutionne pas le genre, la série danoise Le tueur de l’ombre prouve une fois encore la maîtrise des Scandinaves pour le polar

Louise Bergstein, avec Jan Michelsen, alors qu’elle vient d’être agressée. © Netflix
Louise Bergstein, avec Jan Michelsen, alors qu’elle vient d’être agressée. © Netflix

Aurélie Lebreau

Publié le 12.09.2020

Temps de lecture estimé : 3 minutes

Suspense » Copenhague et ses environs, rehaussés d’un froid maritime. Existe-t-il meilleur décor pour planter une série policière? Les brumes humides de Stockholm, Reykjavik ou celles d’Oslo pourraient faire l’affaire, mais sinon, difficile de trouver mieux (à part l’extrême nord de l’Ecosse, les denses forêts de Finlande ou les rivages de la Baltique). C’est donc dans un environnement «parfait» que se déploie Le tueur de l’ombre, à voir en ce moment sur Arte. Une série passablement addictive de huit épisodes (oscillant entre 40 et 49 minutes) qui met en scène un inspecteur de police, Jan Michelsen (Kenneth M. Christensen) et une psychologue venue l’aider dans son épineuse enquête, Louise Bergstein (Natalie Madueño).

Et de l’aide, ce grand flic en a bien besoin. Alors que sa vie personnelle part &agra

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