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«J’ai grandi en haïssant la guerre»

Le réalisateur Joël Karekezi est le fer de lance d’une nouvelle génération de cinéastes rwandais

Joël Karekezi, 36 ans, a remporté plusieurs distinctions avec son dernier film La Miséricode de la jungle. © Alain Wicht
Joël Karekezi, 36 ans, a remporté plusieurs distinctions avec son dernier film La Miséricode de la jungle. © Alain Wicht

Olivier Wyser

Publié le 21.07.2021

Temps de lecture estimé : 5 minutes

Rwanda » Le Festival international de films de Fribourg (FIFF) est le premier rendez-vous cinématographique international à s’intéresser à la filmographie du Rwanda. Un lieu presque vierge puisque la première caméra à filmer le pays est celle de Compton Bennett et Andrew Marton qui réalisaient Les Mines du roi Salomon, en 1950. Il faudra ensuite attendre le début des années 2000 pour que des cinéastes, d’abord étrangers, ne viennent tourner au Rwanda, principalement des films ayant pour thème la guerre civile et le génocide, dans les années 1990. La section «Nouveau territoire» du FIFF n’aura pour ainsi dire jamais aussi bien porté son nom.

Fer de lance d’une nouvelle génération de réalisateurs rwandais, Joël Karekezi présente à Fribourg deux longs-métrages: son premier film

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