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«Je suis un fils sans père»

Retenu en Corée, le cinéaste Bong Joon-ho conversait hier par vidéo avec Fribourg

Malgré l’aura de Bong Joon-ho, peu de cinéphiles étaient présents dans la salle, hier à 14 heures. © Eric Steiner
Malgré l’aura de Bong Joon-ho, peu de cinéphiles étaient présents dans la salle, hier à 14 heures. © Eric Steiner

Éric Steiner

Publié le 20.03.2019

Temps de lecture estimé : 3 minutes

Vidéoconférence » Il aurait dû être l’invité vedette de cette 33e édition du FIFF. Hélas, le célèbre réalisateur coréen Bong Joon-ho a été retenu dans son pays pour superviser les effets spéciaux de son prochain long-métrage et n’a pas pu faire le déplacement pour présenter les sept films qu’il rêvait de voir enfin sur un grand écran (La Liberté du 16 mars). Mais il a néanmoins trouvé le temps hier en début d’après-midi pour une vidéoconférence. Installé devant les imposants rayonnages de sa collection de films, l’auteur de chefs-d’œuvre tels que Memories of Murder, Mother, Snowpiercer ou le récent Okja diffusé sur Netflix, a commencé par montrer à la caméra un coffret du Crime de M. Lange, le classique de Jean Renoir, avant de répondre aux questions de l’ancien journaliste de La Liberté Stéphane Gobbo, aujourd’hui chef de la rubrique culturelle du Temps. Extraits choisis d’une longue conversation cinéphile.

Cinéma classique «Je n’ai pas d’autres loisirs que de regarder des

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