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L’Amérique entrequatre murs

De retour pour une 6e saison, Orange is the New Black n’a rien perdu de son mordant

Piper Chapman (Taylor Shilling, au centre) est prise dans les mailles du système carcéral américain. © Netflix
Piper Chapman (Taylor Shilling, au centre) est prise dans les mailles du système carcéral américain. © Netflix

Olivier Wyser

Publié le 18.08.2018

Temps de lecture estimé : 2 minutes

Série » Lancée en 2013 sur Netflix par Jenji Kohan – la créatrice de Weeds – Orange is the New Black nous enferme derrière les barreaux de la prison pour femmes de Litchfield, dans l’Etat de New York, sur le mode de la «dramédie»… Comprenez un récit dramatique mâtiné d’humour volontiers noir et doublé d’une critique sociale acérée. Basée sur les mémoires de l’écrivaine Piper Kerman – une jeune fille issue d’une famille aisée et incarcérée pour 15 mois en 1998 à la suite d’une aventure lesbienne extravagante sur fond de trafic de drogue – la série mélange avec brio la satire sociale, le féminisme et la culture pop.

A l’écran, Piper Kerman devient Piper Chapman, interprétée par Taylor Shilling, qui va passer au fil des saisons du costume orange de la novice apeurée à la tenue kaki des détenues endurcies. Si les premières saisons nous font découvrir ce microcosme acrimonieux presque exclusivement à travers les yeux de Chapman, la galerie de personnages s’étoffe rapidement et cu

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