La Liberté

pictogramme abonné La Liberté Contenu réservé aux abonnés

La bulle qui n’a pas éclaté

La série de la RTS Bulle sera diffusée dès jeudi. L’actrice Suzanne Clément raconte comment la créatrice Anne Deluz l’a convaincue d’y prendre part

En rouge, Suzanne Clément (Jeanne) écoute Anne Deluz, sur le tournage de Bulle. Entre elles, Elodie Bordas (Alice). © RTS/Anne Kearney
En rouge, Suzanne Clément (Jeanne) écoute Anne Deluz, sur le tournage de Bulle. Entre elles, Elodie Bordas (Alice). © RTS/Anne Kearney

Aurélie Lebreau

Publié le 06.03.2020

Temps de lecture estimé : 9 minutes

Série » La réalisatrice Anne Deluz est décédée en novembre dernier d’un cancer. Elle laisse derrière elle une œuvre très personnelle, Bulle, qui sera diffusée dès jeudi sur la RTS. Une série en six épisodes largement tournée en Gruyère, à la fois intimiste et troublante. Car quand la réalisatrice a commencé à l’écrire en 2013, elle n’était pas encore malade. Mais, telle une stupéfiante prémonition, Bulle se déploie autour du personnage d’Alice Aubert, découvrant qu’elle est atteinte d’une leucémie. C’est alors toute une famille qu’il est donné au téléspectateur d’observer, devenue par cette annonce aussi fragile qu’une bulle de savon. Eclatera? Eclatera pas? Tombée elle-même malade, Anne Deluz a poursuivi son pro

Articles les plus lus
Dans la même rubrique
La Liberté - Bd de Pérolles 42 / 1700 Fribourg
Tél: +41 26 426 44 11