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Le duo Daft Punk (ou presque) au FIFF

Chorégraphie • Dimanche soir, les deux réalisateurs venus présenter «In search of the Ultra-sex» ont réservé une surprise au public hilare de la séance du soir. Ils ont ensuite fait une démonstration de doublage.

Les deux réalisateurs en «Robot Daft Punk» aux côtés de Thierry Jobin, directeur artistique du festival. © JF
Les deux réalisateurs en «Robot Daft Punk» aux côtés de Thierry Jobin, directeur artistique du festival. © JF
La démonstration de doublage par les deux réalisateurs de «A la recherche de l'Ultra-sex». © JF
La démonstration de doublage par les deux réalisateurs de «A la recherche de l'Ultra-sex». © JF
Avant la projection, Bruno Lavaine et Nicolas Charlet insistent, le public doit rester jusqu'à la toute fin du générique. © JF
Avant la projection, Bruno Lavaine et Nicolas Charlet insistent, le public doit rester jusqu'à la toute fin du générique. © JF

Jérémie Fonjallaz

Publié le 23.03.2015

Temps de lecture estimé : 1 minute

La dernière ligne du générique de fin disparait de l'écran lorsque la lumière d'une poursuite éclaire le coin en-bas à droite de la toile. Une musique du film démarre. A ce moment, apparaissent deux hommes déguisés chacun en robot, un personnage du film «In search of the Ultra-sex». Sous leurs casques, Nicolas Charlet et Bruno Lavaine interprètent la chorégraphie absurde vue quelques minutes plus tôt dans le long métrage.

Robot Daft Punk, c'est le nom de ce robot que les deux réalisateurs ont donné à l'androïde. Ce dernier apparait dans l'un des nombreux films pornographiques utilisés pour leur parodie. «In search of the Ultra-sex» est construit avec les images de films pour adultes des années 70-80 sur lesquels les deux compères ont enregistré dialogues et bruitages. Le résultat n'excite que le rire.

Après leur courte danse et leurs casques enlevés, Nicolas Charlet et Bruno Lavaine propose au public une démontration de doublage. Ils reprennent pour cela deux scènes du film. En bas de l'écran, les dialogues défilent rapidement. Les réalisateurs invitent ensuite le public à s'y essayer. Personne ne se lance. Doubleur, c'est un métier.

> La courte interview de Bruno Lavaine et Nicolas Charlet est à lire en suivant ce lien.

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