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Le Festival de films de Fribourg examine plusieurs options

Ne manquant pas d’humour, Philippe Clivaz (à gauche) et Thierry Jobin arboraient hier un pin’s avec l’inscription suivante: «Jusqu’ici tout va bien». Tirée du film La Haine de Mathieu Kassovitz, la citation se conclut cependant ainsi: «Mais l’important, c’est pas la chute. C’est l’atterrissage»… © Charly Rappo
Ne manquant pas d’humour, Philippe Clivaz (à gauche) et Thierry Jobin arboraient hier un pin’s avec l’inscription suivante: «Jusqu’ici tout va bien». Tirée du film La Haine de Mathieu Kassovitz, la citation se conclut cependant ainsi: «Mais l’important, c’est pas la chute. C’est l’atterrissage»… © Charly Rappo
Publié le 04.11.2020

Temps de lecture estimé : 2 minutes

Pandémie » En pleine crise du coronavirus, pas facile d’organiser une grande manifestation. C’est le casse-tête qui occupe en ce moment le Festival de films de Fribourg.

La fermeture des salles de cinéma n’est pas une bonne nouvelle pour les exploitants mais elle est aussi un nuage de plus sur l’horizon du Festival international de films de Fribourg (FIFF). La manifestation avait déjà fait les frais du premier semi-confinement au printemps dernier et sa tenue au début 2021 est forcément liée à l’évolution de la pandémie de Covid-19. «Nous allons de toute façon faire le festival mais on ne peut pas faire comme si tout allait être réglé d’ici là. Plusieurs options sont sur la table», explique Thierry Jobin, directeur artistique du FIFF, dont l’objectif est de pouvoir proposer des projections avec un public

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