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Une irrésistible école ménagère
La rafraîchissante comédie d’émancipation de Martin Provost nous replonge en mai 1968
Olivier Wyser
Publié le 10.03.2020
Temps de lecture estimé : 3 minutes
La bonne épouse » Une bonne épouse ça doit savoir mitonner à la perfection le lapin sauté chasseur, repasser impeccablement les chemises de son mari et écarter les jambes sans broncher le temps que son époux puisse accomplir son devoir conjugal… Voilà quelques-uns des préceptes enseignés à l’Institut Van der Beck, quelque part en Alsace, en 1968.
.embed-container { position: relative; padding-bottom: 56.25%; height: 0; overflow: hidden; max-width: 100%; } .embed-container iframe, .embed-container object, .embed-container embed { position: absolute; top: 0; left: 0; width: 100%; height: 100%; }A la tête de cette école ménagère on ne peut plus respectable il y a les époux Van der Beck, la rigide Paulette (Juliette Binoche) et Robert (François Berléand), plus porté sur la bouteille et les revues coquines que sur les &eac