«Une parenthèse enchantée»
Chargé de la section Cinéma de genre, Jean-Philippe Bernard vit le FIFF avec passion
Éric Steiner
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Rencontre » Qu’il présente un film, qu’il anime un débat ou qu’il discute avec des spectateurs à l’issue d’une projection, Jean-Philippe Bernard fait preuve du même enthousiasme, de la même passion communicative. Bien connu des lecteurs romands, que ce soit comme critique au Matin Dimanche ou comme collaborateur de La Liberté, ce cinéphile irréductible collabore depuis 2012 avec le FIFF où il est en charge notamment de la section Cinéma de genre consacrée cette année à la comédie romantique.
Que représente le FIFF pour vous?
Jean-Philippe Bernard: Une parenthèse enchantée, le meilleur moment de l’année. C’est la semaine la plus belle, la plus excitante, quelque chose que j’attends chaque fois avec impatience.
Après le western, le biopic, le film de sport, le film catastrophe, le cinéma érotique, les histoires de fantômes et, pour cette édition, la comédie romantique, n’avez-vous pas épuisé le catalogue des fil