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A Lyon, l’art entre à l’usine

La Biennale d’art contemporain investit pour la première fois la vaste friche industrielle d’une ancienne fabrique d’électroménager. Visite

En grand: Prometheus Delivered de Thomas Feuerstein. Puis de haut en bas: Le silence d’une dune de Stéphane Thidet, Si tu me vois, je ne te vois pas de Minouk Lim, Elastic Bonding de Malin Bülow et Deep Soil Thrombosis de Holly Hendry. © Courtesy of the artist/ADAGP/Blaise Adilon
En grand: Prometheus Delivered de Thomas Feuerstein. Puis de haut en bas: Le silence d’une dune de Stéphane Thidet, Si tu me vois, je ne te vois pas de Minouk Lim, Elastic Bonding de Malin Bülow et Deep Soil Thrombosis de Holly Hendry. © Courtesy of the artist/ADAGP/Blaise Adilon

Thierry Raboud

Publié le 23.11.2019

Temps de lecture estimé : 5 minutes

Exposition » L’art contemporain est dialogue, ou voué à l’insignifiance. Vite oubliées, ces œuvres hermétiques comme une coquille vide, dont le sens demeure blotti sur lui-même. Alors que devant ces installations ouvertes sur l’espace qui les accueille, façonnées par l’histoire ou l’esprit du lieu, le spectateur est invité à partager les réflexions qu’elles mettent en scène. Il s’émerveille, se questionne: c’est là que l’art est grand.

Très grand, même, dans les anciennes usines Fagor. Une friche démesurée qui est le nouveau cœur de la Biennale d’art contemporain de Lyon, dont la 15e édition essaime en plusieurs lieux. On s’économisera la visite du Musée d’art contemporain, dont les trop vastes espaces offerts tant aux sprays de la Bâloise Re

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