C’en est fini pour peyotl, khat et compagnie
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Cet été, La Liberté part à la découverte des objets que les musées ne veulent ou ne peuvent pas vous montrer. Ces «damnés des enfers» – une référence aux enfers bien réels des bibliothèques d’autrefois – ne sont pas toujours ceux que l’on pense. Cette semaine, les plantes hallucinogènes.
Les enfers des musées (3/6) » «On a fini par le retirer de notre serre froide où se trouvent les autres cactus et les succulentes. On se le faisait tout le temps voler», explique Gregor Kozlowski, le curateur du Jardin botanique de Fribourg. Lui, c’est Lophophora williamsii, soit le peyotl, une plante fortement hallucinogène et manifestement très recherchée. «Visuellement, elle n’a rien de très particulier. On a pensé qu’enlever l’étiquette avec le nom latin empêc