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Lorsque l’homme repense la nature

Dans Humanité végétale, le photographe Mario del Curto raconte les interactions, tantôt fécondes, tantôt stériles, entre hommes et plantes

Un pont à Dubai © Mario del Curto
Un pont à Dubai © Mario del Curto

Aude-May Lepasteur

Publié le 31.10.2019

Temps de lecture estimé : 5 minutes

Botanique » Au terme d’un «parcours photographique en zig zag», Mario del Curto publie Humanité végétale, le récit des relations entre les hommes et les plantes. Des premiers plans cadastraux gravés au corso fleuri de Zundert, du Garden of Cosmic Speculation aux forêts de pommiers sauvages du Kazakhstan, il interroge le chemin emprunté par l’humanité pour le meilleur, mais surtout pour le pire.

Qu’entendez-vous par «humanité végétale»?

Mario del Curto: Sans le règne végétal, et les champignons, il n’y aurait pas de vie humaine. Je voulais explorer ce lien. Je l’ai fait de manière intuitive, au fur et à mesure des lectures et des rencontres. En tête, j’ai toujours gardé l’idée que c’est la pensée qui façonne le v&eacu

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