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Va-et-vient canadien

La Fondation de l’Hermitage présente Le Canada et l’impressionnisme et souligne les fructueux échanges entre Europe et Amérique du Nord

La robe rose (1897) de Laura Muntz. © Musée des beaux-arts de l’Ontario, don de J.S. McLean, Canadian Fund, 1957
La robe rose (1897) de Laura Muntz. © Musée des beaux-arts de l’Ontario, don de J.S. McLean, Canadian Fund, 1957
Le train en hiver (1913-1914) de Clarence Gagnon.
Le train en hiver (1913-1914) de Clarence Gagnon.
Hiver à Moret (1895) de Maurice Cullen.
Hiver à Moret (1895) de Maurice Cullen.
Le Jardin du Luxembourg (1905) de James Wilson Morrice et son incroyable ciel vert émeraude. © Musée des beaux-arts du Canada, Ottawa
Le Jardin du Luxembourg (1905) de James Wilson Morrice et son incroyable ciel vert émeraude. © Musée des beaux-arts du Canada, Ottawa

Aurélie Lebreau

Publié le 01.02.2020

Temps de lecture estimé : 4 minutes

Lausanne » Ils n’ont pas hésité à quitter leur jeune pays – le Canada est né en 1867 – qui ne possédait pas encore d’écoles d’art pour venir se former en France. Dans la seconde moitié du XIXe siècle, les artistes canadiens en herbe les plus fortunés ont ainsi traversé l’Atlantique par grappes, souvent depuis le Québec. Et se sont installés à Paris pour intégrer l’Ecole des beaux-arts ou des écoles privées qui acceptaient les femmes (au contraire de la première). L’exposition Le Canada et l’impressionnisme. Nouveaux horizons, conçue par le Musée des beaux-arts du Canada à Ottawa, fait halte à la Fondation de l’Hermitage, après Munich et avant Montpellier et Ottawa. Une belle opportunité de découvrir des peintres injustement méconnus ici et qui o

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