La Liberté

pictogramme abonné La Liberté Contenu réservé aux abonnés

Dewarrat, vieillir à l’avenir

Avec ses implacables Couchers de soleils, Marie-Claire Dewarrat revient au genre de la nouvelle. © Ed. de l’Aire
Avec ses implacables Couchers de soleils, Marie-Claire Dewarrat revient au genre de la nouvelle. © Ed. de l’Aire
Avec ses implacables Couchers de soleils, Marie-Claire Dewarrat revient au genre de la nouvelle. © Ed. de l’Aire
Avec ses implacables Couchers de soleils, Marie-Claire Dewarrat revient au genre de la nouvelle. © Ed. de l’Aire
Publié le 14.12.2019

Temps de lecture estimé : 5 minutes

Marie-Claire Dewarrat » En trois nouvelles comme autant de crépuscules futuristes, la Châteloise écrit la mort en face. Caustique et critique.

La mort rôde. Alors il faut l’écrire, jusqu’à la toiser avec cette salutaire fierté des vivants. La mort rôde et partout son aile froide semble planer dans l’œuvre de Marie-Claire Dewarrat. Déjà au creux de L’été sauvage, recueil de nouvelles avec lequel elle faisait en 1985 une entrée remarquée en littérature. Puis surtout dans ce Carême d’un homme drapé de chagrin, endossant le deuil de son fils comme raison d’exister: honoré par le Prix Dentan puis repris en poche par Actes Sud, ce premier roman imposera la Fribourgeoise en écrivaine incontestable. Avec Mémoires vives en 2007, elle collectait encore des récits de personnes âgées

Articles les plus lus
Dans la même rubrique
La Liberté - Bd de Pérolles 42 / 1700 Fribourg
Tél: +41 26 426 44 11