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«Je cherche à comprendre cette époque»

Le Grand Prix suisse de littérature a été remis jeudi soir à Pascale Kramer. De passage à Fribourg vendredi, au lendemain de la cérémonie, l'écrivaine genevoise a accepté de répondre aux questions de «La Liberté».

L'écrivaine née à Genève est installée à Paris depuis 30 ans. © DR
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L'écrivaine née à Genève est installée à Paris depuis 30 ans. © DR
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L'écrivaine née à Genève est installée à Paris depuis 30 ans. © DR

Thierry Raboud

Publié le 17.02.2017

Temps de lecture estimé : 3 minutes

En une dizaine de romans, l’écrivaine née à Genève et installée à Paris depuis 30 ans, a déployé une œuvre engagée qui explore les fractures de la société en s’approchant des marginaux, des laissés-pour-compte, des oubliés. Son dernier roman, Autopsie d’un père (Flammarion, 2016), est surtout l’autopsie d’une France en déliquescence, hantée par la montée des extrémismes (critique à lire dans «La Liberté» du week-end).

Quelle a été votre réaction à l’annonce de ce Grand Prix suisse de littérature? 

Pascale Kramer: J’ai eu beaucoup de retours, de témoignages d’amitié, je dois dire que c’est étourdissant et assez bouleversant! Je ne m’y attendais pas, à vrai dire. Les écriv

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