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La doctorante naufragée

Avec sa plume acérée comme une lame, Paula Porroni signe avec "Bonne élève" un premier roman qui frappe par sa maîtrise, et sonne juste. ©Felipe Armstrong
Avec sa plume acérée comme une lame, Paula Porroni signe avec "Bonne élève" un premier roman qui frappe par sa maîtrise, et sonne juste. ©Felipe Armstrong
Avec sa plume acérée comme une lame, Paula Porroni signe avec "Bonne élève" un premier roman qui frappe par sa maîtrise, et sonne juste. ©Felipe Armstrong
Avec sa plume acérée comme une lame, Paula Porroni signe avec "Bonne élève" un premier roman qui frappe par sa maîtrise, et sonne juste. ©Felipe Armstrong
Publié le 16.02.2019

Temps de lecture estimé : 4 minutes

Paula Porroni » Native de Buenos Aires, mais établie en Angleterre, la quadragénaire publie un premier roman aussi bref que dense et cinglant. La saga d’une historienne d’art au chômage qui tente de se frayer un chemin dans la foire aux places.

Il est rare qu’un premier livre prenne autant son lecteur aux tripes. Il est vrai aussi qu’avec son écriture qui swingue, persifle et décoiffe, l’auteure ne fait pas dans la demi-mesure. L’argument du récit est de prime abord assez simple. La narratrice, venue d’Argentine, a fait de solides études dans une université du nord de l’Angleterre. Mais une fois rentrée au pays, son diplôme la laisse en rade, sans le moindre emploi. Aussi l’intellectuelle flouée décide de retourner en Grande-Bretagne pour tenter, grâce au soutien de sa mère, une veuve au train de vie confortable, de parf

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