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Une femme, un macchabée

A 83 ans, l’écrivaine ne rumine pas ses souvenirs tristes, préférant jouer, farceuse, avec la mort. © Catherine Hélie
A 83 ans, l’écrivaine ne rumine pas ses souvenirs tristes, préférant jouer, farceuse, avec la mort. © Catherine Hélie
Publié le 27.03.2021

Temps de lecture estimé : 5 minutes

Vénus Khoury-Ghata » Dans Ce qui reste des hommes, l’écrivaine franco-libanaise marie la mort et l’amour avec panache. Son roman est d’un comique salutaire.

La femme qui ne savait pas garder les hommes. L’écrivaine franco-libanaise s’était glissée dans ce roman qu’elle publiait en 2015, se jouant une fois de plus des frontières entre réalité et fiction. Revoilà Vénus Khoury-Ghata «dévoreuse d’hommes», «Hétaïre», «Messaline», personnage truculent de son nouveau roman Ce qui reste des hommes. Celle qui dit n’avoir pas d’imagination avoue s’être toujours inspirée de sa propre vie pour écrire. Il n’est donc pas étonnant de voir dans sa poésie et ses récits revenir inlassablement sa jeunesse au Liban: ses traumatismes familiaux (Une maison au

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