Aux racines sacrées du jazz
Chris Brubeck rend hommage à son père Dave Brubeck à travers un oratorio créé à Fribourg
Elisabeth Haas
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Equilibre » L’un de ses fils se prénomme Darius, comme Milhaud. Le grand jazzman Dave Brubeck doit beaucoup au compositeur français, dont il a été l’élève: sa maîtrise de l’orchestration, dont il a fait preuve dans des œuvres sacrées d’envergure, cantates et oratorios chorals. Même s’il a surtout été connu comme pianiste de son Dave Brubeck Quartet, c’est tout un pan important de son œuvre que représente la musique sacrée. C’est à ce volet-là que rendra hommage samedi le Festival international de musiques sacrées et la Haute Ecole de musique HEMU, en collaboration avec les fils de Dave Brubeck. Equilibre accueillera à 20 h l’oratorio Mary Magdalene and the Garden Dweller.
Son compositeur, Chris Brubeck, faisait encore référence à la polytonalité de Milhaud, mar