JLin se met en mode minimaliste
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Electro » Etrange objet que ce nouvel album de Jerrilynn Patton, alias JLin. La productrice américaine, élevée dans la sous-culture footwork de Chicago, n’en finit plus de sortir du moule. Moins d’une année après Black Origami, l’un des meilleurs albums électro de 2017, la voilà qui remet le couvert avec Autobiography. Pas la sienne d’ailleurs, mais plutôt celle du chorégraphe Wayne McGregor, pour son ballet contemporain sur le thème du génome. Une œuvre de commande, donc, ce qui explique en partie la nouvelle direction suivie par JLin. Au revoir les rythmes frénétiques et bonjour les plages éthérées et minimalistes. Reste cependant cette obsession du détail et cette science du découpage. Un disque frais et inattendu. OW
JLin, Autobiography, Planet Mu.