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Kabaka Pyramid, un rasta en haut de la pyramide

Publié le 18.08.2018

Temps de lecture estimé : 3 minutes

Musique » Dans l’univers du reggae, la tentation est grande de se poser en puriste, garant du son le plus roots et originel possible. Pas Keron Salmon, alias Kabaka Pyramid. Invité par le festival Plein-les-Watts à clore la soirée d’aujourd’hui, le jeune prodige de Kingston mélange reggae, hip-hop et dancehall sur un premier album, Kontraband, sorti au début de l’été.

Une réussite impériale pour celui dont le pseudo se réfère au titre de noblesse de l’ancien royaume ougandais (Kabaka) et aux pyramides d’Egypte. Un album éclectique produit par Damian Marley, fils de son père au pedigree influent dans l’île caraïbe. Au fil des seize titres, la personnalité de Kabaka Pyramid rayonne au travers de textes engagés et de mélodies tenaces. Un reggae «conscient» prêt à conquérir le monde. Sur les traces de son modèle Bob Marley? Entretien.

La conception de ce premier album a pris deux ans, au final en êtes-vous satisfait?

Kabaka Pyramid: Le disq

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