Musique » Son agenda est aussi chargé qu’une symphonie post-romantique. C’est donc entre deux services d’orchestre pour répéter le concert du soir que Renaud Capuçon a rencontré la presse hier sur la scène de la Salle Métropole, parmi chaises et lutrins. L’occasion de donner le ton de sa deuxième saison à la tête de l’Orchestre de chambre de Lausanne.

Une phalange qui «se porte bien, à tous égards», à en croire Alexandre Curchod, président de la fondation, réjoui de voir le public revenir dans les salles pour des grands concerts joués à guichets fermés. «Des bons résultats que l’on doit évidemment à la levée des restrictions sanitaires, mais surtout à l’arrivée de Renaud Capuçon.» Il est vrai que le violoniste français, dont la réputation internationale n’est plus à faire, semble avoir offert à l’orchestre un nouvel élan, qui le conduira prochainement jusqu’au célèbre Musikverein de Vienne mais aussi sur la scène Concertgebouw d’Amsterdam où il se produira pour la première f